Les systèmes de communication sans fil utilisent les hyperfréquences pour leurs propriétés de propagation (à travers les murs), qui servent de porteuse dans la majorité des cas à des très basses fréquences pulsées. Ce sont les ondes électromagnétiques qui véhiculent l’information souhaitée dans l’environnement.

Elles permettent de transporter la voix (pour la téléphonie sans fil, les réseaux GSM, les baby-phones), des images ou encore des données (les systèmes Wifi, Bluetooth, l’UMTS (3G), la 4G (LTE), 5G…), ou de jouer (consoles avec manettes sans fil) et de se « détendre » ou « s’informer » avec les téléviseurs connectés, les systèmes d’enceintes sans fil, et tous les objets connectés qu’on nous vend comme indispensables dans notre quotidien.

La plupart des appareils qui fonctionnent sans fil utilisent des ondes de ce type.

Ces ondes sont également celles utilisées pour les fours micro-ondes qui utilisent  l’effet thermique des hyperfréquences afin de chauffer les aliments et boissons par inversion rapide des polarités de l’eau contenue dans ceux-ci. Ces fours fours sont censés être hermétiques mais fuient de manière importante dans la plupart des cas mesurés….

L’utilisation de ces technologies engendre la présence d’ondes électromagnétiques artificielles dans notre environnement quotidien. Invisible à l’œil nu, ce brouillard électromagnétique (également appelé « electrosmog ») peut être extrêmement important suivant les sources en présence. Ce « brouillard » s’ajoute à celui des très basses fréquences générées par toutes les installations électriques et a été multiplié de manière exponentielle les 20 dernières années.

Les sources de rayonnements les plus importantes sont généralement celles également portées « sur soi » et donc peuvent avoir un impact en direct sur les personnes, comme par exemples : les ordinateurs portables dont les WiFis sont la plupart du temps actifs et sont des antennes émetteurs récepteurs, les smartphones (qui en mode transmission de données ou simplement en recherche de réseau WiFi permanente sont aujourd’hui devenus les principales sources de pollution hyperfréquences des bureaux), les montres connectées, les bases des téléphones sans fil DECT qui émettent 24h/24 en attente d’appel et dont le rayonnement en cours d’appel est proche voir supérieur selon les cas de celui des téléphones portables, les autres sources WiFi, desquelles il vaudrait mieux prévoir de s’éloigner (Box, bornes répéteurs et tout appareil équipé en service comme les imprimantes récentes, …).

Ces ondes électromagnétiques hyperfréquences se différencient par leur fréquence (exprimée en Megahertz ou Gigahertz) et leur puissance (exprimée en Watt). L’audit électromagnétique consiste à analyser les types d’ondes présents dans l’environnement et de mesurer leur densité de puissance exprimée en µW/m² ou traduite en V/m. La comparaison avec les valeurs biocompatibles de la Biologie de l’habitat allemande permet d’évaluer les risques potentiels et de prendre les mesures de protection nécessaires et d’adopter des stratégies d’utilisation prenant en compte la prévention.

Ces fréquences qui jouent un rôle de plus en plus certain sur les cellules du corps humain, peuvent dans certains cas être arrêtées par des blindages effectués à l’aide de peintures ou de tissus spécifiques… et il existe sur le marché de nombreuses autres solutions qui agissent sur un plan biologique et énergétique en compensation lorsqu’il est techniquement difficile de les remplacer ou supprimer par d’autres procédés avec efficacité.

Le diagnostic professionnel est là pour déterminer les sources et tenter d’y apporter en conscience la meilleure solution technique possible, en commençant tant que faire ce peut par en éliminer les origines non indispensables, puis en utilisant les meilleures technologies de blindage ou de rééquilibrage possible lorsque cela est nécessaire.